NM3. Vernon espère débuter son année du bon pied

Ce samedi, à 20 heures, au gymnase Gamilly, le SPN Vernon (12e) débute son année 2025 avec la réception des Franciliens de Saint-Maur (6e), qui restent avant la trêve, sur deux victoires consécutives.

Pour ce premier match de 2025, le SPN Vernon pourra compter sur le retour de son n°10 Maliek. (Crédit photo : SPN Vernon Basket).

Une nouvelle année pour une nouvelle page, c'est tout ce qu'on peut souhaiter aux Vernonnais pour 2025. En effet, malgré un effectif de qualité, le SPN Vernon n'est pas parvenu avant la trêve de Noël à trouver son rythme de croisière, ce qui le fait commencer ce mois de janvier dans la peau d'une équipe relégable.

Cependant, avec le contenu des prestations des joueurs de Jean-Philippe Tailleman lors des deux dernières rencontres et l'apport d'un nouvel élément (Mickaël Weber), le SPN Vernon peut commencer à entrevoir le bout du tunnel. "Le problème de l'équipe n’est pas au niveau du basket, mais plus au niveau mental", souligne l'entraîneur Jean-Philippe Tailleman, qui poursuit : " Le groupe a besoin de confiance, avec le staff on a confiance en eux, mais on n'a beau le dire le seul moyen d'engranger de la confiance passe par la victoire."

Deux mois capitaux

Ce soir face à Saint-Maur, qui reste sur deux victoires consécutives mais surtout moins de 50 points encaissés lors de ses deux dernières sorties, les Vernonnais se retrouvent quasiment dos au mur et savent qu'ils doivent réaliser un résultat pour pouvoir continuer de croire au maintien. "Les joueurs ont de la qualité, je suis certain qu'ils sont capables de battre n'importe quelle équipe de la poule. Mais on a déjà grillé plusieurs jokers et les deux mois qui vont arriver sont décisifs pour notre survie."

Et dans ce duel pour le maintien, les rencontres face aux adversaires directs des Vernonnais vont arriver très vite. Mais avant de penser à ces confrontations, il faudra ce soir passer l'obstacle Saint-Maur, qui a bien l'intention de faire la passe de trois, en terres vernonnaises, et de laisser Vernon dans une zone inconfortable.

F.G.